Nous sommes libertins depuis de nombreuses années et j’ai la chance d’avoir une femme aimant s’exhiber tant à l’intérieur qu’à l’extérieur.
Il y a plus de 10 ans, j’avais organisé une rencontre avec un couple au fond d’un parking couvert d’un supermarché. Ce parking bien éclairé et tout repeint offrait la possibilité de jeu d’exhibition stimulant excitant qui nourrirait l’imaginaire de ma femme car le rendez-vous était fixé en fin de journée vers 20h avec l’assurance d’avoir nettement moins de voitures mais surtout parce qu’elle aurait les yeux bandés. Les bruits auraient toutes leurs importances dans la montée de son excitation de sa jouissance.

Nous habitions dans une grande métropole et nous avions 10 kms à faire pour nous rendre sur place.

Elle ne savait qu’une chose c’est que je l’offrais à un couple qu’elle devait les satisfaire, qu’elle aurait les yeux bandés et qu’elle ne devrait jamais enlever son masque sans mon ordre afin de ne rien voir.

A 1 km du supermarché, je lui donnai son masque qu’elle mis aussitôt pendant que je conduisais.
Dés lors, je sentis que les bruits agissaient sur elle sur sa respiration et certainement qu’elle commençait à mouiller.
Je lui parlais doucement pour la rassurer, lui décrire où nous étions sans trop donner de détail mais suffisamment pour qu’elle rentre dans son imaginaire.

Dès que je fus dans le parking, mes pneus sur le revêtement au sol récemment peint du parking crissés et je mis quelques minutes pour trouver le lieu idéal au fond du parking et me garer. Je lui caressai ses jambes et remontai quelque peu sa robe pour lui caresser sa chatte. Ses lèvres me semblaient déjà bien gonflées.

J’en profitai pour indiquer par SMS au couple où nous étions dans le parking et j’en informai ma femme qui de fait était tel un animal très à l’écoute des bruits.

Quelques minutes plus tard, je recevais un SMS du couple m’indiquant qu’il rentrait dans le parking et là encore j’informai ma femme dont la respiration grimpa subitement.

Je vis les feux d’une voiture se dirigeant vers nous et j’entendis les pneus là encore crissés. Ce bruit oppressant stimulant fit que ma femme me serra la main intensément et me dit "ce sont eux ils arrivent…. ».

Je lui répondis par l’affirmative et lui dit " je t’offre pour ton plaisir et vis tes plaisirs, je suis là pour ton bonheur".

Je descendis de voiture pour accueillir mon couple complice émerveillé par ma belle en robe noir transparente courte vêtue de ses bas sans string qu’ils virent à travers la vitre car au préalable j’avais remonté sa robe. Après quelques mots de remerciements réciproques et d’extases du couple pour ma femme, le mari ouvrit la porte du côté de ma femme et lui prit la main en lui adressant quelques mots doux à l’oreille afin de la faire délicatement descendre de voiture.
A ce stade, nous avions oublié que nous étions dans un parking potentiellement visible et le couple entreprit à deux de la caresser et de l’embrasser goulûment. Ma femme n’en pouvait plus et gémissait et embrassait elle aussi goulûment gourmande qu’elle est. Je nageais dans le bonheur et l’excitation de la voir avec cet homme et cette femme.
Ils l’allongèrent sur le capot de notre voiture Golf et entreprirent de la sucer longuement sans oublier de la faire juter car ma femme est hyper fontaine ce que je n’avais pas oublié de leurs mentionner quand nous avions pris le rendez-vous.

Le temps s’arrêtait tant le spectacle de ma belle s’offrant et satisfaisant ses hôtes fut exquis. Je la sentais épanouie heureuse. Ses seules oreilles la guidant dans ses plaisirs rendaient son excitation encore plus folle.

Quelques temps plus tard, quand chacun fut repu de plaisirs tant charnels que cérébraux, nous reprîmes chacun nos voitures et repartir.

Elles avaient toujours ses yeux bandés et étaient chaudes de plaisirs avec sa tenue un peu débraillée.
Nous commençâmes à parler chacun évoquant nos plaisirs moi de l’avoir vu avec des complices de qualité, elle de ce qu’elle avait ressenti en me posant des questions sur le couple qu’elle n’avait pas vu. Ce dernier point stimulait encore son cerveau et elle ressentait à nouveau ses plaisirs bien après dans notre voiture roulant vers notre nid.
Nous étions en ville, elle, les yeux bandés sans se soucier des passants qui pouvaient voir une beauté avec les yeux bandés.
Ce fut quelques kilomètres avant d’arriver chez nous que je lui demandai d’enlever son masque. Elle était belle et en extase.

Nous nous fondons l'un dans l'autre. Plonger dans l'univers de l'autre dans ce jeu de partage et de transensualité. Nous aimons nous laisser porter.

Ce soir là avec nos délicieux complices, ce fut un feu d'artifice des plaisirs.

Ma belle est friande d'instants et de poses libérés où tout est permis en galante compagnie dans des lieux publics et clos.

Elle aime vibrer des dépassements d'interdits. C'est une décharge d'adrénaline de libération de pulsions. Le plaisir de se réaliser ainsi dans d'intenses moments d'exhibition s'en trouve renforcer par le regard que je lui porte ainsi que nos ami(e)s présent(e)s.

Afin de libérer son goût pour l'exploration de nouveaux trésors ma belle souhaite inviter un couple à une séance de cinéma un samedi soir. Elle imagine la dame du couple à son égal portée sur cette excitation et ces plaisirs.

Elle en a fait un challenge pour nous les hommes dans les actes et les preuves à fournir à ces dames.

Parlons de logistique et d'organisation.

Pour elle, les femmes seront nues sous leur robes ou jupes sans strings. C'est le minimum car elles peuvent oser plus. Les hommes ne porteront pas de slips.

Le décor est planté. Elle imagine que nous nous retrouvions avec nos billets juste avant de rentrer dans la salle afin qu'elle accompagne l'homme du couple et moi la femme. Nous nous installerons à 4 les uns à coté des autres dans un ordre précis à savoir les femmes entre les 2 hommes et ma belle à côté de l'homme.

Avant que la séance commence elle souhaite que les hommes découvrent l'intimité de ces dames et puissent accompagner cette découverte de baisers tendres. Moment de découverte sensuel avant la tempête...rires...

Les lumières s'éteignant ces dames vont s'atteler alors à faire grossir et dresser les penis de ces messieurs et quand elles y seront parvenus elles se donneront un coup de coude pour avertir l'autre de venir constater la situation. L'idéal serait qu'une photo soit prise de ces exploits mais c'est peut-être trop demandé. Des photos d'une manière générale permettraient d'alimenter le récit de cette aventure que je ferais plus tard ici même sur notre blog.

C'est ensuite le tour des hommes de prendre le relais afin de faire mouiller les dames par un jeu de doigts délicat mais déterministe. Les dames après avoir éjaculées ou mouillées abondamment devront récupérer de leur jus sur leurs doigts pour venir caresser les joues de leur partenaires prouvant leur satisfactions leur plaisirs et leurs conditions. Ce jus sera comme une marque indélébile de la femme sur son partenaire.

Ensuite c'est séance libre .... nous pouvons voir le film ou quitter la salle de cinéma pour aller au restaurant et poursuivre notre rencontre ...voire plus.

Ce scénario s'adresse à des couples des Hauts de France ou de Belgique uniquement. Nous serons ravis de lire vos commentaires.

Elle fut prise. Depuis, elle et lui savourent le plaisir du changement de rôle. Elle switche. Costume de soumise au placard pour l'instant, elle apprécie de le prendre et rythmer son va et vient en lui tout en se délectant des rictus épanouissants sur son visage. Frénésie, extase...Elle imagine ce que serait de l'offrir à d'autres mains d'autres queues. Son plaisir de grande maîtresse renforcé par l'orchestration d'un moment de perversité enrichi en toute complicité par la communauté des désirs rassemblés et pour son bonheur à lui.

A PRENDRE....mais comment et selon quelle histoire...A vos plumes...pour élaborer nos futurs aventures à relater ensuite ici avec vous si vous le voulez bien... 

Cela faisait 15 jours que ma femme exigeait que je notasse dans mon agenda ma disponibilité sans faille pour 20h15 ce mercredi. Gare à l'oubli. 

Je dus réorganiser mes rendez-vous sur Paris pour pouvoir prendre mon TGV à une heure raisonnable afin de rejoindre la capitale des Flandres. Quelle pouvait bien être cette soirée qui m'imposait une journée au rythme aussi soutenu. Vers quoi courais-je sans le savoir? 

Il était hors de question de louper ce moment délicieux non par crainte que la maîtresse qui sommeille en elle se réveille quoique ... rires ...  mais parce qu'un homme ne fait pas attendre une fleur, éducation oblige. A peine sortie de la gare, je la vis dans notre voiture devant la gare à m'attendre. Elle avait le port altier d'une princesse qui ne transigera pas ce soir tel un amer dominant pour mieux être vu, guider vos pas, taquiner votre regard.

Points d'allusions à la soirée qui s'annoncait ni même sur son excitation que je sentais poindre en entrant dans la voiture. Je ne savais pas si cette soirée mystèrieuse serait d'ordre culturelle, libertine, intime. Ce mystère entretenu et cette mini jupe laissant entrevoir ses belles jambes quand elle passait les vitesses alimentaient mon imagination libertine qu'elle doucha définitivement en cours de route alors qu'elle démarrait brusquement à un feu vert :"je te sens venir, ne t'attend pas à une rencontre avec un couple ce soir..." . Les compteurs étaient remis à zéro. 

Son sourire en coin dévastateur me laissait à penser que mes supputations seraient vaines. Je décidais de me laisser guider.

En entrant dans notre appartement à 19h, elle me dit que nous avions une heure pour nous préparer puisque notre rendez-vous était tout proche en ville. Je pouvais rester en costume mais à une condition. Elle exigea que je ne porte pas de slip que je mette mon cockring métal tant apprécié par nous deux. Je m'exécutai sans poser de questions tandis qu'elle s'absentait pour prendre une douche et se changer... 

Elle apparut 15 minutes avant de partir dans une robe paillette d'un rouge vif lumineux dos nu avec escarpins. Figée dans sa beauté, jouissant de son effet, elle me demanda de venir lui caresser son dos. Ebloui autant qu'étourdi par son parfum je sentis son corps totalement nu sous sa robe se lover contre moi. "Allons" dit-elle, "découvre moi". C'était le signal sans rappel afin que je m'occupe délicatement et puissamment de sa fontaine épilée.

Nous déambulions main dans la main, mon regard rivait vers les facades de la ville scrutant le lieu possible où elle m'enmenait. Je supposais que le chemin ne devait pas être long puisque le vent frais des premières soirées d'automne se faisait pressant en s'immisçant sous sa robe. Le pas rapide, elle avait jeté son dévolu sur un restaurant chic dans lequel elle s'engouffra pour qu'il soit le temps d'un soir son donjon où s'exercerait sa domination.

Sa robe rouge imposa l'ambiance et nous valut un accueil personnalisé du Chef dans les minutes qui suivirent notre installation. Froide aux regards pétillants, elle m'intima l'ordre de lui mettre la main dans le dos faisant dans le même temps tomber sa bretelle révélant ainsi une épaule dénudée sublime. Le code dominatrice/soumis agissant je vins la baiser puisque tel était son désir et je lui remis sa bretelle qui ne devait curieusement jamais tenir de la soirée. Le Médoc 2002 que nous avions commandé se mêlant à nos ardeurs, lui fit soulever sa robe afin que je mesure le résultat de son excitation. Mes doigts s'introduirent en elle, jamais profondément à son goût mais suffisammment tout de même pour que copieusement humides en les retirant, je les suce ouvertement devant elle goûtant ainsi l'abondance des plaisirs et des passions qu'elle distillait. Le repas n'avait pas débuté et j'avais de plus en plus faim d'elle. 

Alors que la serveuse nous présentait la mousse de brochet sur lit de crevettes, ma maîtresse du soir me rappela à mon statut devant témoin : "donne moi ton anneau". Stupéfait par sa hardiesse, je m'exécutais non sans avoir essayé de négocier. Face à son refus, je savais que s'entêter me vaudrait un châtiment ou une épreuve à venir bien pire. Je ne pouvais échouer à ce stade. Je parvins habilement à attendre le départ de la serveuse pour que caché par la généreuse nappe en coton blanc j'ouvre ma braguette afin d'introduire mes doigts. Je fis glisser mon doux duo un par un à travers ce métal délicieusement chaud. Mon empressement me valut quand même quelques légères douleurs dans le bas ventre. Fièrement je lui remis sur la table mon cockring qu'elle m'autorisa alors à mettre dans ma poche car je devrais m'en resservir me dit-elle.

Nous venions de finir le plat principal, le temps s'écoulait lentement et je me croyais à l'abri d'une épreuve. Soudain, ma maîtresse me dit "quand la serveuse amènera le dessert je veux que tu remettes ton cockring" . Oubliant le vouvoiement de rigueur avec ma maîtresse du soir, j'osais rétorquer et argumenter sur la difficulté de l'épreuve. Il m'en valut une réponse qui claqua comme un fouet "dépêche toi ... ne perd pas de temps ... tu te débrouilles". Un grand moment de doute sur ma capacité à remettre mon cockring me gagna. Comment dans une salle de restaurant partiellement remplie pouvais-je mettre mes mains dans mon pantalon y glisser mes couilles dans le cockring sans attirer des regards ahuris par mes contorsions ? J'y parvins je ne sais pas  comment mais à ma grande joie et stupéfaction. Je venais de réussir ma seconde épreuve et j'étais fier de moi et heureux de satisfaire ma maîtresse qui m'envoûtait de plus en plus.

Je ne me doutais pas qu'en quittant le restaurant, ma maîtresse était dans une excitation folle et elle m'imposa de lui caresser sa fontaine pour qu'elle se libère par deux fois. La première fois sur la place jouxtant le parking et dans le parking où elle arrosa abondammment en gémissant.

Les épreuves du soir finirent pour laisser place à un grand moment d'amour très arrosé et plein d'extases où tous nos sens en ébullition se libérèrent.